D’un naturel extraverti, joyeux, très franc et surtout extrêmement bavard. On ne peut se douter de ce qu’a vécu Broderick, sauf si on lit entre les lignes de son autodérision constante.

Totalement gay, il n’a jamais été intéressé par le genre féminin car il n’en porte qu’une dans son cœur. Il a ignoré aussi toutes les remarques homophobes qu’il peut recevoir a contrario de Trent qui attaque à la jugulaire.

Fils d’un homme d’affaire qui a mis du temps à se faire à l’homosexualité de son fils mais aussi aux nombreuses conquêtes qu’il a eu. Bien que le chef d’affaire essaie de garder un contact avec son fils, ce dernier ne lui donne jamais de réponse.

Pourquoi donc ? Broderick, doute de la pureté de son père, dès qu’il a pu partir, il s’en est allé. Savoir que son père se tape sa secrétaire pour surmonter son statut de veuf et le traumatisme de la perte de sa femme, le dégoute.

En effet, la mère de Broderick est décédée, il y a bien quelques années et c’était un suicide. Avant de lui éviter tout traumatisme, on lui raconta autre chose que la vérité alors que c’était totalement inutile. Le jeune garçon, voyant par la fenêtre de la chambre de ses parents, le corps de sa mère, ce dernier cru qu’elle avait installé une balançoire à l’intérieur. Il alla donc la voir et il fut donc le premier à découvrir que sa mère s’était suicidée par pendaison.

Il arrive à en parler facilement, afin de faire passer un message, mais c’est sans se douter qu’il en souffre en silence.

En mémoire à sa douce mère, tous les jours, il prend une minute de silence pour elle et il a constamment son annuaire gauche vernis d’une couleur rouge. La couleur de sa mère, l’annuaire gauche en référence en effet à l’importance de ce doigt dans le code amoureux.